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Journal du Docteur

Bien le bonjour ami lecteur !

Autant le dire cash, mais Hi score girl est ma meilleure lecture de la semaine et une série que je ne vais pas revendre de si tôt, je ne peut que vous encouragez à l’acheter ou à lire mon avis dessus. Mais les autres lectures ne sont pas non plus en reste, les 3 premiers tomes de The Most Notorious Talker était intéressants en traitant une loser qui veux devenir le meilleur par tous les moyens. Et enfin Tokyo Revengers tome 21 qui nous donne tout ce qu’on attend depuis le début de la série. Bonne lecture.

Ce que j’ai lu la semaine dernière

  • Hi score girl – Tome 1 à 10 :

J’avais déjà une certaine admiration pour Oshikiri Rensuke et ses différents récits sortie chez nous, un trait prenant pour ses mangas d’horreur et une énorme passion pour les jeux vidéo et les années 80/90 qui se ressent au travers de ses mangas. Et bien qu’on m’avait déjà recommandé Hi score girl, je ne m’attendais pas à (disons-le.) surkiffer ma race. 

Bien au-delà d’une simple romance. On ressent au fils des chapitre à la fois toute la passion d’Oshikiri Rensuke pour les jeux vidéo d’arcade, mais surtout sur une enfance qui évolue en même temps que l’univers des jeux en pleine effervescence à cette époque. Haruo le personnage principal m’a beaucoup faut penser à la représentation de l’auteur qu’on peut retrouver dans Bip bip boy (mais en un peu plus sympa), très grand joueur de Street Fighter II on va suivre la quête pour surpasser sa nouvelle rival Ôno Akira. Ces derniers biens que différents (lui est complétement nul en classe, tandis qu’elle fait partie de l’élite) mais vont se trouver un point commun en jouant aux bornes d’arcades.

La série s’axe sur 3 gros arcs, le premier où on les suivra lors de la primaire (Tome 1), le second lors de leurs années de collège (Tome 2 et 3) et enfin lors de leurs années de lycée (Tome 4 à 10). En plus de suivre l’évolution de leur relation sur le temps, ça nous permet aussi de suivre l’évolution des jeux et l’émergence de nouvelle console comme celle de salon. Et tout ça pour plonger le lecteur dans le quotidien de Haruo qui à l’opposé de tout les clichés du geek qui passe sa vie dans les jeux vidéo, en poussant ses personnages à se dépasser pour ne jamais abandonner. Je ne compte plus le nombre de passage qui m’a donné envie de soutenir les personnages.

Et je voudrais revenir un peu sur les 3 premiers tomes, le premier assez simple est accès sur le quotidien entre Haruo et Ôno, encore assez jeune ils vont surtout passer du bon temps mais on ressent déjà une certaine pression sociale qu’ils peuvent avoir. Mais tout cela est traité avec une belle finesse qu’on s’attarde plus à se créer des liens pour ces personnages et on lâche notre petite larme à fin du tome.

Le second arc qui se passe au collège nous introduit le début d’un triangle amoureux. Koharu, un nouveau personnage et camarades de classe de Haruo va faire son apparition. Elle qui n’y connais rien au jeux vidéo et n’a n’y passion va peut à peut au contact de notre héros trouver un but à sa vie, vue qu’ils sont maintenant au collège une nouvelle problématique qui est de choisir son avenir va également se poser autour de sa. C’est le début des responsabilités qui commence mais surtout d’une remise en question pour Haruo qui essaye de comprendre au mieux un manque qu’il ressent au quotidien alors qu’il s’entraîne pour surpasser sa rivale. 

Je ne vais pas revenir sur le reste de la série qui est mine de rien également très bien et donne une nouvelle indépendance à nos personnages tout en traitant de la place d’un gameur dans la société ainsi qu’un gros travaille sur les responsabilités qui pèsent sur les personnes en haut du panier. Le seul point que je trouve un poil moins bien dans cette dernière partie, c’est le temps qu’il faut à Haruo pour qu’il prennent enfin conscience de la vraie nature de ses sentiments. Mais dans l’ensemble le récit reste une énorme surprise pour moi. Les dernières pages de chaque tome qui pousse à chaque fois un cliffhanger te donnant envie de vite dévorer la suite, et une histoire qui m’aurait donné le smille plus d’une fois.

Un animé existe sur Netflix si vous hésitez à vous lancer. Et je vous invite également à regarder d’autre avis sur la série, je n’ai fait qu’effleurer la surface des qualités du titre et d’autres doivent pouvoir en parler 100 fois mieux que moi.

  • The Most Notorious Talker – Tome 1 à 3 :

Un peu mitiger par ces 3 tomes de The Most Notorious Talker (trop long le titre d’ailleurs) déjà on est dans un monde assez médiéval fantasy dans l’âme ou des guerrier appeler Seekers affronte des monstres sortie tout droit de l’abysse et qui ravage le monde. Mais on retrouve quand même des avions, des montre ou encore des pistolets dans le monde (ça donne une impression bizarre mais en même temps pourquoi pas, ça donne de l’originalité). On va suivre l’aventure de Noel qui veut suivre les traces de son grand-père et devenir le plus fort des Seekers, mais Noel à hérité d’une de la classe de Talker (en soutien) ce qui le rend très faible et finalement peu utile dans un combat pur et dur.

Mais avec le temps et un solide entraînement sur son mental et son corps, il va créer avec d’autres Seekers un groupe d’aventurier du nom des Blue Beyond qu’il va diriger au mieux pour être le meilleur. Mais voilà, on va avoir un petit retournement de situation lors du tome 1 que je ne vous dévoilerais pas qui va entraîner un changement dans ses plans.

Lors du tome 2 et 3 il va partir à la recherche de nouveau compagnon et va réussir à recruter Alma, la petite fille d’un grand assassin et plus grand rival de son grand-père. Un duo qui va prendre la route pour affronter des brigands sans scrupule qui s’attaque à des villages. Les 2 vont former un duo ma fois très redoutable et Noel va rapidement montrer sa vraie personnalité, celle d’un homme près à tout pour être le meilleur et n’hésite pas à être calculateur, audieux et sans scrupule avec les gens qu’il l’entoure. 

On est la vraiment sur le héros ténébreux qui utilise des méthodes douteuses pour réussir. Ce n’est pas forcément mauvais en sois et ça se lis bien, mais j’attends quand même un petit retournement de situation voir un vrai défi que devra affronter Noel. Merci à Dekpron de m’avoir prêté et fait découvrir la série.

  • Tokyo Revengers – Tome 21 :

La fin de l’arc de l’affrontement entre le Toman et Tenjiku fait monter la série au sommet. Dans ce tome Takemichi va enfin régler ses comptes avec Kisaki. 20 tomes qu’on attend ce moment et c’est un réel plaisir de les voir se mettre sur la gueule. On a d’ailleurs enfin la vérité sur le plan de Kisaki et pourquoi est-ce qu’il en veut tant à Takemichi. Mais maintenant que l’affrontement est terminé, l’heure n’est pas à la fête car il faut pleurer les morts ainsi que ceux qui se sont fait arrêter. On se croirait déjà sur la fin de l’histoire, mais pourtant il reste encore 10 tomes avant d’en avoir terminé. Je me demande bien ce qui motivera Takemichi ou ce qui clochera quand il retournera dans le futur.

tokyo revengers tome 21

Et vous qu’avez-vous lu la semaine dernière ? Et qu’avez-vous prévu de lire cette semaine ?

N’hésitez pas à me le dire en commentaire.

2 Replies to “Journal du Docteur #87”

  1. On en avait déjà parlé, mais je suis tellement ravi que tu aies autant aimé Hi Score Girl, c’est à mes yeux un vrai chef d’oeuvre. Comme tu l’indiques, le travail sur le temps est vraiment excellent, et est à mes yeux une des grosses qualités de la série, puisqu’il est parfaitement géré et épouse les deux thématiques principales qui sont l’évolution du jeu vidéo, et l’évolution d’un enfant qui grandit et découvre petit à petit les émois amoureux, entre autres. Une série vraiment riche pour seulement 10 tomes !

    1. Elle est très clairement rentrée dans le cercle de ces séries qui m’ont fait suivre une histoire forte de bout en bout.

      Oh que oui, les jeux vidéo ont une place centrale dans le récit et aussi importante que la romance. En plus de servir de moyen de plaisir pour les personnages, c’est surtout un axe de communications qui en ressort, et de parallèle avec les personnages.
      L’un des passages qui illustre bien ça est le moment ou le meilleur ami de Haruo fait le parallèle entre ce dernier et les différentes versions de Street Fighter II qui n’arrête pas de sortie. Les 2 évoluent et avancent dans le temps en s’améliorant, mais aucun des deux n’évolue réellement pour passer à la version supérieure. Utilisé la chronologie des jeux comme représentation pour son personnage principal c’est tellement bien jouer

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