Journal du Docteur
Bien le bonjour ami lecteur !
En ce lundi, on se retrouve pour un nouveau Journal du Docteur où je vais vous parler des 4 premiers tome de Yozakura Quartet, et également de mon avis sur le cas des réimpression de manga qui rend certaines séries difficiles à compléter ou à trouver.
Ces séries difficile à trouver
Vous avez surement été une fois dans le même cas que moi ou en commençant une série vous vous rendez compte qu’un ou plusieurs volumes sont devenu introuvable (encore plus maintenant avec la crise du papier que traversent actuellement les éditeurs avec les imprimeurs) ou alors d’occasion à un prix qui demande presque d’avoir un salaire de ministre. Tout ça pour dire que c’est un fléau que je constate de plus en plus ces dernières années et qui risque de rendre dans l’oubli de très bonne série malheureusement pas assez mise en avant par l’éditeur, à cause de leur faible vente. Mon but n’est pas de jeter la pierre à quelqu’un, mais de vous donner mon ressenti là-dessus, et chouiner un peu sur des séries qu’on découvre malheureusement trop tard. On ne parlera pas des séries en arrêt de commercialisation ou des séries d’éditeurs qui n’existent plus car ça fait partie du jeu, et parfois pour n’importe quelle raison, un éditeur peut être obligé d’arrêter une série à cause des droits de celle-ci
Tout d’abord je veux parler des séries terminer mais où il manque certains tomes, prenons comme exemple le cas de Fûka que j’ai déjà abordé sur le blog, la série est quand même assez récente dans le catalogue de Pika car elle a commencé à être publié en France en 2017 et le dernier tome est sortie en Août 2020. Pourtant pour ceux qui ont lu mes articles vous aurez remarqué que le tome 18 n’est plus disponible ne neuf alors que celui-ci est sortie il y a à peine 1 an (Janvier 2020) et aucune réimpression de prévue malgré quelques relancer de lecteur auprès de Pika.
On ne connaît pas la vraie raison, mais il est fort à parier que la série est était imprimé en peu d’exemplaire et manque de popularité auprès du public. Par exemple sur Mangacollec on vois que 347 personnes ont ajouté ce tome à leur collection, ça ne veut pas dire que le tome est était imprimé en 347 exemplaires, mais ça donne une idée globale de la popularité de la série.
C’est aussi le cas avec Ga-rei, une autre série de Pika plus ancienne (dernier tome paru en 2012) où le dernier tome à été tirer en très petite quantité, ce qui fait que si on veut compléter la série, il faut débourser au minium 125.48€ pour les 3 derniers tomes en occasion (prix des tomes 10, 11 et 12 en occasion au moment où j’écris ces lignes : 16.99, 28.66, 79.83)
Là on à parlé de série déjà terminer, mais qu’en est t’il des séries toujours en cours ? Je prends comme exemple Tokyo Revengers, Yozakura Quarter ou encore A certain magical Index. 3 séries toujours en cours qui pourtant possèdent des tomes difficiles d’accès dans le commerce. Pour Tokyo Revengers la réponse est simple, la série à gagner en popularité grâce à son adaptation en animé ce qui fait que beaucoup de fans se sont lancé sur les premiers volumes. Le stock de Glénat est partie comme des petits pains, et à cause de la crise du papier, la réimpression des premiers volumes à mis du temps à arriver.
Pour les deux autres séries on touche au problème qui ma amener à parler de ça dans cet article. On est sur 2 séries de niches qui malheureusement ne se vendent pas assez et où des tomes en plein milieu de séries ne sont plus trouvables en neuf. Le fait de ne pas faire de réimpression est quelques choses que je conçois, car déjà ce qu’il faut savoir c’est que cela à un coût, que ce sois le coup de production ou encore de stockage (oui il faut bien stocker les livres quelque part), et si ça ne se vend pas (ou peut) ils ne pourront pas rentré dans leurs frais. Mais a contrario, s’ils manquent des tomes en plein milieu de la série, ça va être compliqué d’acquérir de nouveau acheteur 🙁
Et pour finir je voulais finir sur cette question. Faut-il se séparer des séries rares ou plus éditer ? Vous possédez peut-être des séries anciennes qui ne sont plus éditées ou qui sont devenu très recherché. Mais est-ce que vous seriez prêt à les vendre ? C’est la question que je me pose pour certaines séries comme Magi, j’ai bien aimer la série, mais j’hésite à la vendre pour me faire un peu de place, mais à moins de la sortie d’une édition perfect un jour, il y a de forte chance que celle-ci subisse également des ruptures de stocks à l’avenir vu que la série reste assez méconnue.
Ce que j’ai lu la semaine dernière
Aujourd’hui on va parler d’une série qui traine depuis pas mal de temps dans ma PAL et dont certains tomes sont devenu difficile à trouver à un prix correct. Je veux bien sur parler de Yosakura Quartet de l’illustrateur des Lights Novel de Durarara!! et Danmachi. Une série avec un début très confus qui me fait mieux comprendre pourquoi elle ne se vend pas en France
- Yozakura quartet – Tome 1 à 4 :
Dernière série qui traine dans ma PAL depuis plus d’un an, d’abord attirer par le visuel des couvertures qui attirent du regard. J’ai longuement attendu avant de commencer à le lire et me procurer les premiers tomes car bien que la série est commencée à être édité en France à partir de 2011, on a toujours une dizaine de tome de retard par rapport au japon (18 en France contre 28 au Japon à l’heure où j’écris ces lignes). La faute a une série qui ne se vend pas beaucoup et à raison (j’explique pourquoi plus bas) ce qui fait que certains tomes sont en rupture de stock et plus réimprimer malgré des relances auprès de Pika, et le prix de l’occasion (minimum 40€ pour le moins chère) ne motive pas trop à continuer la série.
Première série de l’illustrateur (Suzuhito Yasuda) des Lights Novels Durarara!! et DanMachi, Yozakura Quartet nous raconte l’histoire d’un groupe de personnages composé principalement de Akina un gardien entre le monde des humains et de Yokai, Hime une lycéenne surpuissante et maire du quartier, Kotoha une lexicologue capable de matérialiser les mots et Ao une Yokai capable de lire dans l’esprit des gens grâce à ces oreilles de chat. Dans la ville de la nouvelle Sakura ils travaillent pour répondre aux diverses demandes des habitants du quartier ou vivre humain et Yokai, mais n’hésitent pas à régler son compte à quiconque tente de perturber cette paix.
Je crois que c’est la première fois où j’ai du mal à expliquer ce que raconte une œuvre. L’idée de départ est très portant bonne, mais j’ai vraiment eu du mal à comprendre le but de l’histoire ou ce qui se passe durant ma lecture de ces 4 volumes. Le titre propose des chapitres de vie quotidienne assez fréquemment et introduit une foule de nouveaux personnages dès le volume 2, qui pourtant n’apparaisse que 5 cases au maximum en 4 tomes. J’ai aussi du mal à cerner les caractères de certains personnages, principalement Hime (celle sur la couverture du tome 1) qui paraît très strict mais qui prend soin de bonheur des habitants du quartier, mais pourtant au fil des chapitres on a l’impression qu’elle a 2 de QI. L’auteur ne semble pas savoir exactement ou il veux aller dans ce début de série, car l’intrigue manque aussi de sens pour proposer des moments qui n’aboutissent à rien.
Je comprends pourquoi la série à peu de succès en France car les 4 premiers tomes sont assez confus et on n’arrive pas à voir vers quoi se tend la série. L’auteur semble cependant être conscient de ses critiques et essaye de s’améliorer (ce qu’on remarque déjà entre le tomes 1 et 4), car il en parle en fin de tome et nous raconte plus en profondeur son travail sur la série.
Je vais quand même donner sa chance jusqu’au tome 7 (car le 8 n’est plus dispo à un prix correct), car en voyant que l’auteur prend en compte les critiques, et sachant que la série fait actuellement 28 tomes au Japon, je me dis que l’histoire a du évoluer dans le bon sens pour que la série soit toujours en cours.
Et vous qu’avez-vous lu la semaine dernière ? Et qu’avez-vous prévu de lire cette semaine ?
Connaissez-vous Yosakura Quartet ? N’hésitez pas à me le dire en commentaire.
Ah ben je vois que sur un certain point, nos réflexions du jour se rejoignent. C’est en effet un sacré fléau les séries en rupture, et perso, il est hors de question que j’achète un tome d’occasion plus cher que le neuf, ce serait jouer le jeu de la spéculation et me concernant, il n’en est pas question.
C’est ce que je me suis dit ce matin en lisant ton article « tient ont traitre du même sujet ».
Je suis du même avis que toi, c’est con d’acheter un tome 3 fois son prix alors que son état est moins bon qu’un neuf.