Blue period – Bilan après 10 Tome
10 tomes atteint pour Blue Périod, malgré le petit drama qu’à reçu l’auteur dernièrement et qui n’a comme souvent aucun sens mais sert juste à attirer l’attention par des petits comique (après on est habitué sur twitter…..) fin bref.
Gros cap pour Blue Period qui lors de ce second tome semble terminer sa seconde phase avec les examens de fin de première année pour les étudiants de Geidai. Yatora mais aussi Yotasuke ont du mal à choisir quoi faire pour ce sujet libre, Yatora se demande même s’il aime encore peindre. Mais le tome se concentre surtout sur Yotasuke, lui qui se montrait distant lors du précédent tome, il va devoir s’affirmer et sortir de sa coquille dans laquelle il se sent bien pour sauté une barrière au niveau artistique. Une belle mise en place de son évolution, lui qui est toujours timide et dans « son monde ».
En seulement 10 tomes, Blue period aura déjà su me marquer ainsi que de nombreux lecture dans sa façon de présenter un héros de shonen qui découvre et évolue dans le milieu de l’art. Je l’ai déjà dit plusieurs fois, mais presque chaque tome m’a donné envie de prendre une feuille ou un pinceau et de commencer à dessiner après ma lecture (bon je ne l’ai pas fait parce que je suis giga nul, mais ça c’est une autre histoire), mais même au-delà de l’art Blue périod est surtout un manga qui nous apprend à mieux connaître les autres et à ne pas se fier aux apparences. L’un des exemples le plus frappants est Ryûji, l’un des amies de Yatora aurais pu être un de ses rivaux en art, mais il va au fil des tomes s’approfondit et l’on va apprendre à connaître les différents complexes qui le ronge. Il va également nous offrir l’une des meilleures scènes du manga à mes yeux, que ce soit avec la réaction de sa famille, ou encore sa rencontre avec Yatora juste avant la dernière épreuve pour Geidei.
Merci à Nathalie Lejeune pour la traduction de ce volume.
Synopsis
Les étudiants de Geidai entament leur dernier projet de l’année qui va déterminer leur passage au niveau supérieur. L’enjeu est d’autant plus grand que le sujet est libre, et que des artistes de renom viendront évaluer leurs œuvres. Ayant essuyé plusieurs coups durs, Yotasuke ne vient pratiquement plus en cours. Yatora tente de lui remonter le moral, mais il est lui-même assailli par le doute et se demande s’il aime vraiment peindre…