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Moi qui ne savait pas à quoi m’attendre avec la suite de Hitman et bien je suis agréablement surpris pour la tournure que ça prend. On continue tout d’abord avec la nouvelle série de Kasuga, l’auteur ultra populaire qui à décider de montrer à Kenzaki qu’il n’a pas besoin d’éditeur éditorial pour proposer une bonne série pour le magasin. D’un côté c’est bien car ça prouve certains reproches (que j’avais également) ou l’on pourrait se dire que l’éditeur ne sert pas à grand choses et que c’est l’auteur qui propulse une série ou non, mais d’un autre côté bien qu’on nous explique son passé avec la raison de pourquoi il se comporte comme ça, dans le monde réel tu plonge directement si tu n’en fait qu’à ta tête.

Ensuite on apprend que les séries de Shimakaze et Takanashi auront le droit à une adaptation en animé. Même si on s’éloigne du domaine de l’édition du manga, c’est un bon moyen de comprendre comment sont gérer les droits lorsque est décidée une adaptation en animé. Les auteurs semble avoir un vrai regard sur l’adaptation de leur œuvre, et même s’il faut parfois faire des compromis point de vue budget ou temps ça doit être agréable de suivre le processus de A à Z.

Quelques planches

Hitman ne cesse de m’impressionner et en plus Kouji Seo à le chic pour nous faire passer des messages à travers les personnages de ses œuvres. Comme l’exemple ci-dessous où Shiori Amaya prend conscience que même s’il est important de faire ce qui nous plaît, ça se sert à rien quand on sait qu’on fonce droit dans le mur.

kouji seo message

Synopsis

Contre toute attente, la nouvelle série de Kasuga, l’auteur du remarquable « Shining Wizard », ne remporte pas le succès attendu. Kenzaki tente d’échanger, en vain, avec son nouveau poulain qui rejette toute critique et se montre très méprisant, en particulier avec son éditeur. Dans le même temps, une bonne nouvelle arrive avec l’adaptation en animé des séries de Shimakaze et Takanashi, les réunions de préparation s’enchaînent et Kenzaki découvre un tout nouveau monde…

hitman t8

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