BanG Dream!

Découverte des origines de la Saga BanG Dream en version animé, car il faut savoir que la franchise à d’abord été proposé sur la forme d’un jeu mobile afin de promouvoir l’animé, un peu comme Kemono Friends (je n’aurais jamais pensé qu’un lien entre ces 2 licences existait, surtout que leur première saison à toutes les 2 est sortie durant la saison d’hiver 2017).

On va suivre Kasumi, jeune fille souriante et très expressive qui vient d’entrer au lycée qui cherche quelque chose capable de faire battre son cœur au rythme des étoiles après avoir découvert cette sensation étant plus jeune. Lors de sa recherche elle va tomber sur une vielle guitare en forme d’étoile que l’une de ses camarades veut essayer de se débarrasser, en la suivant ça va l’amener dans une salle de concert pour assister à son premier concert. Ça va tellement la captiver qu’elle va décider de former son propre groupe et d’un jour se produire sur scène.

C’est ainsi qu’on va suivre son parcours pour apprendre à jouer de la guitare, et se créer des amitiés avec les personnes qu’elle rencontrera et qui deviendront bien plus que ces camarades de groupes.

Pourtant, si dans le principe on est sur un début qui a pas mal de similitude avec son spin-off MyGo, on voit qu’on est ici au début de la franchise avec une histoire qui reste très scolaire et plutôt classique, les personnages ont peu ou pas d’expérience et apprennent avant tout à jouer pour s’amuser et pour un plaisir assez simple.

C’est bien écrit quand même mais on sent que les différents enjeux comme leur premier concert à la fête de l’école ou bien sur une scène ne sont pas les plus impactant. Idem pour le développement des personnages, si on s’attache à Kasumi et sa bonne humeur, et que le passé de Saaya ou Arisa sont intéressants, je trouve que passer leur introduction, les personnages n’évolue plus beaucoup, si bien qu’on ne s’attache à elle que pour leur caractère.

Bon je dis ça mais on ressent quand même, surtout à la fin qu’elles forment déjà un groupe uni grâce à Kasumi qui les relit toutes, mais j’aurais aimé que ce soit un peu mieux mis en avant. Sinon mis à part ça on a de bonnes musiques, de beaux graphismes, je suis d’ailleurs surpris parce que je pensais que l’animé aller utilisé des modèles 3D pour les personnages le long de la série, mais ils sont très peu visibles et juste utilisées durant les concerts.

Et en plus la transition entre les 2 et ultra-fluide et on a vraiment du mal à faire la différence entre de la 2D et de la 3D par moment, je vois aussi que ce n’est pas le même studio qui a fait cette saison 1 et les autres saisons ainsi que MyGo et Ave Musica, ce qui explique peut-être ça. En conclusion, ce début se regarde plutôt bien malgré plusieurs longueurs par moment à cause du manque de vrais enjeux et développement de persos sur toute la saison, je vois que la suite à une meilleure note sur MAL, j’ai grand espoir que je commence à retrouver ce que j’ai apprécié dans la saga avec la suite.

Synopsis : Kasumi Toyama qui s’occupe de la guitare et du chant, Arisa Ichigaya du synthé, Rimi Ushigome de la basse, Tae Hanazono de la seconde guitare, et Saaya Yamabuki de la batterie.

BanG Dream! Saison 3

Continuité de la saison 2 ou le groupe RAS avait déclaré la guerre à Rosalie et Poppin Party en leur disant qu’il serait un meilleur groupe qu’eux, pour ce faire, ils vont passer le début de saison à essayer de recruter un nouveau guitariste avec un personnage que l’on connait bien.

Malgré une appréhension au début l’alchimie fonctionne assez vite et on se retrouve à apprécier ce groupe qu’on voyait jusqu’à là comme un antagoniste à la série, même si ça sera encore un peu le cas car un gros concours nommé Bang Dream va avoir lieu et tous ceux qui y participent doivent obtenir le plus de voix possible lors de leur concert afin d’avoir la chance d’être parmi les 2 finalistes pour jouer au sein du prestigieux Budokan, une salle prestigieuse du Japon et que beaucoup d’artiste rêve d’y faire un concert (un peu le zénith français).

On va donc suivre les 3 groupes que j’ai cités au début, enchaînant les concerts et essayant d’atteindre la première place. Les autres groupes qu’on a vus durant la saison 2 seront plus en retrait cette fois, mais seront quand même présent pour encourager nos héroïnes et faire des petits caméos.

Sinon j’ai un peu de mal avec le principe même du concours et le fait que c’est plus une course à celui qui arrivera à faire le plus de concert qui arrivera à obtenir le plus de voix, c’est d’ailleurs ce que font Popping Party à partir d’un moment en enchaînant plus de concert que les autres groupes, et même si ça prouve leur détermination et donne une raison « légitime » au fait qu’elle grimpe vite dans le classement, je trouve ça un peu facile quand même.

D’autant que comme la saison 2, c’est un peu le groupe gentil auquel il n’arrive que des bonnes choses et où il y a rarement des conséquences négatives à leurs actions. À côté, j’ai nettement préféré le développement des membres de Rosalie et RAS qui sont aussi mises en avant dans ce concours, donne également tout ce qu’elles ont pour atteindre la première place mais affronte des difficultés pour y arriver et sont en proie au doute par moment. Pourtant, je les aime bien les Poppipa, toujours joyeuse et propose des créations musicales intéressantes.

En bref, quand même une meilleure saison que les précédentes, je suis content d’avoir découvert les origines de la saga Bang Dream qui arrive à nous attacher aux personnages et ne pas nous fier seulement aux paroles des personnages mais de voir leur acte pour comprendre qui elles sont, j’ai quand même une préférence pour la saga MyGo et AveMusica en termes d’écriture, mais c’est marrant de voir les liens qui s’opèrent entre les différentes séries.

Synopsis : Il s’agit de la troisième saison de la série animée BanG Dream!.

I’m Getting Married to a Girl I Hate in My Class

Naïvement lancer l’épisode 1 en pensant trouver une comédie romantique banal pour passer le temps en jouant sur un jeu pokémon à côté, mais sérieux, c’est quoi ce premier épisode qui n’as aucun sens.

Les 2 MC qui sont forcés de se marier alors qu’ils se détestent parce que leurs grand-parents sont frustrés de pas être sortie ensemble à l’époque (un peu extrême quand même comme décision, mais aller pourquoi pas, ils veulent peut-être améliorer les relations entre leurs 2 familles).

Les 2 MC sont obligés de vivre ensemble sous le même toit à la manière de « A couple of cuckoos » mais au lieu de se dire que bon aller, maintenant qu’on vit ensemble, on va quand même essayer de s’entendre ou à la limite que chacun fasse sa vie de son côté dans la maison. Mais ça force le trait avec des interactions forcé à base de « oh la la tu fermes la porte à clé, c’est parce que tu as des pensées cochonnes » ou « non mais je ne vais pas manger en même temps que toi et à la même table, je vais mentalement croire qu’on est un couple ». Et ce n’est que l’épisode 1 😭.

Franchement la suite est tout aussi nulle, le MC qui devient populaire et toutes les filles deviennent amoureuse de lui sans aucune raison, les perso tertiaire con comme leurs pieds et qui sont juste là pour brasser du vent, et la vraie raison derrière le fait qu’ils se détestent tous les 2 qui a été écrite par un enfant de 5 ans (tu te souviens pas de moi quand on c’est croisé à une soirée quand tu étais enfant, alors je te déteste). Ça n’invente rien et ça reprend juste ce qu’on a déjà vue 150 fois mais en moins bien. Je suis rarement énervé sur un animé mais là vraiment j’ai l’impression d’avoir été pris pour un con et qu’il faudrait juste payer un avocat spécialisé dans le divorce pour aider les persos à avancer.

Synopsis : L’histoire se centre sur Saito Hojo, un jeune lycéen qui a épousé Akane Sakuramori, sa plus grande rivale à l’école. Ils n’arrivent pas à s’entendre mais leur vie de jeunes mariés est sur le point de commencer !

Maquia – When the Promised Flower Blooms

Je m’attendais à rien en le trouvant à 10€ en promo dans un cultura, mais je suis agréablement surpris et toucher après avoir vue le film car on se retrouve devant une épopée fantastique, émouvante et époustouflante sur la maternité, les préjugés et le vieillissement, c’était dur de retenir mes larmes.

On y suit Maquia, une jeune fille appartenant au peuple d’Iolph qui possèdent une longévité exceptionnelle (un peu comme des elfes), mais bien que sont peuple vie à l’écart de tous, leur sang et leur secret attise aussi la convoitise ce qui va amener des ennemis à venir les attaques en semant la destruction, seul Maquia va réussir à s’échapper dans un monde qu’elle ne connais pas.

Rapidement elle va faire la rencontre d’un jeune bébé abandonné parce que les parents sont morts, et elle va décider de le garder et l’élever débutant ainsi leur histoire et leur évolution entre un enfant qui va grandir, et une mère qui ne va pas vieillir.

En plus d’être beau visuellement c’est très bien écrit avec la relation entre Ariel (l’enfant) et Maquia qui évolue au fil du temps et des phases que prend Ariel avec l’âge, que ce sois l’admiration maternelle, le fait de ne pas comprendre pourquoi les autres trouve sa mère bizarre, ou même une fois adulte de devoir caché son vrai lien avec elle en disant que c’est ça sœur pour ne pas éveiller les soupçons.

Rien n’est vraiment figé et le fait de passer par plusieurs ellipse temporelle accentue encore plus cet aspect du récit (même si on peut s’y perdre comme les personnages changes aussi de lieux régulièrement).

À côté de ça on a aussi des histoires annexes sur d’autres personnages qui rencontreront dans leurs vies nos 2 héros et qui reviendront de temps en temps, peut-être la partie moins développée du récit et laissant plus libre à l’imagination. Pourtant je me suis retrouvé ému par le message de l’œuvre, il n’y a rien de pire que les séparations, et celle d’un parent qui sais que son enfant va partir avant lui doit être encore pire.

Il y a une phrase que j’ai vraiment appréciée durant le film, l’un des personnages qui dit que tout cela n’aura été qu’une partie infime de la vie qu’elle va mener, mais pourtant, ne peut-on pas faire de cet infime instant un moment marquant qui forgera notre étoffe sur le temps qui passe ?

En bref une très belle réussite pour un film que je n’attendais pas.

Synopsis : Maquia est une jeune fille qui vient d’une lignée un peu particulière : tous les membres de sa famille cessent de vieillir dès lors qu’ils atteignent leur adolescence. Orpheline, elle vit paisiblement – bien qu’un peu dans la solitude – au sein d’un clan où tout le monde est comme elle. Cependant, un jour, une armée envahit son village, bien décidé à découvrir le secret de l’immortalité des personnes de son espèce. Alors que plusieurs de ses amis sont capturés, Maquia décide de partir à leur recherche ; en chemin, elle va croiser la route de Ariel, un jeune garçon qui a perdu ses parents et qui, lui, vieillit.

Tokyo Revengers: Tenjiku Arc Saison 3

3ème saison de Tokyo Revengers, au moment où la série n’était pas encore partie en couille. Takemichi est de retour dans le passé et n’as plus le choix que d’arrêter les plans de Kisaki pour pouvoir retourner dans le futur, mais ça s’annonce compliquer car le gang de Tenjiku leur mettent des bâtons dans les roue et met hors-jeu la plupart des capitaines du Toman, entre trahison, règlement de compte et combat acharné, c’est plutôt chaud pour le petit cul de Takemichi.

Bon j’avoue que le début de la saison on ne comprend pas trop ou ça veux en venir, on va surtout voir notre héros subir les événements plus qu’autre choses mais ça créer quand même un peu de tension car certains événement arrive de façon plutôt imprévue, notamment une scène près d’un cimetière qui m’avais bien mis sur le cul quand je l’avais lu dans le manga. Aller je trouve peut-être les relations de fraternités avec Izana assez complexe pour pas-grand-chose, on nous dit que c’est le frère de tel personnage mais en fait après non c’est le demi-frère puis en fait non ce n’est pas le frère, on comprend quand même au final mais c’est sur expliquer pour pas-grand-chose.

Mais c’est clairement pas une saison mauvaise loin de là, on a enfin les révélations final sur le plan de Kisaki et pourquoi il s’en prenais à chaque fois à Hina dans le futur, une grosse baston entre le Toman et Tenjiku qui, même si les forces n’était pas équilibré du tout, à réussir à proposer un bon divertissement et des moments bien badasses avec des coups rapide comme l’éclair.

Synopsis : Il s’agit de la troisième saison de Tokyo Revengers.

Clevatess

Un manga que j’aime beaucoup et que j’avais hâte de voir en animé, j’avais un peu peur quand j’ai vu les premières images cependant, car ça me semblait assez fade et manquant de contraste sur les personnages. Finalement ça m’a pas tant gêné que ça durant mon visionnage et c’était même plutôt fluide, mais ça aurait mérité peut-être un peu plus de soin pour faire honneur à la série. Sinon ça parle de quoi ?

On y suit un groupe de héros qui vont affronter Clevatess, l’une des 4 bêtes démoniaques de ce monde. Ils vont assez rapidement se faire tuer mais Clevatess va se rendre compte que les humains qui n’avaient pas réussi à arriver jusqu’à lui depuis des siècles sont devenu de plus en plus fort avec le temps, il va décider d’éliminer le mal à la racine avant qu’il ne soit trop tard et va détruire la ville d’ont sont partie les héros. Mais alors qu’il avait presque terminé de tout détruire, il rencontrait une survivante au seuil de la mort qui va lui demander de s’occuper d’un bébé pour qu’il découvre que les humains ne sont pas tous mauvais et que certains ne sont en rien responsable du choix des autres, c’est comme ça que Clevatess va avoir la charge d’un enfant et essayer de comprendre les humains, mais est-ce que des choses plus sombre ne se cacherais pas aussi dans le monde ?

Je ne vous parle vraiment que du début, mais on est un récit de Fantaisie qui reprend des codes classiques mais arrive à les raconter avec brio, je suis d’ailleurs également surpris par le rythme et les choix fait à la fin de chaque épisode, qui nous laisse sur un cliffanger donnant envie de voir la suite, sans trop en dire par exemple un épisode se termine sur un personnage qui tombe d’un pont et atterrie tout en bas d’une falaise, laissant le spectateur dans l’attente de qui va se passer la semaine d’après.

Globalement j’ai vue de bon retour sur la série sur les réseaux, comme je m’y attendais aussi la saison à adapter les 4 premiers tomes qui représente le premier gros arc, une saison 2 a aussi été annoncer mais je ne sais pas trop ce qu’elle compte adapté comme le second gros arc n’est pas encore fini et qu’on a encore 5 tomes à adapté.

En bref malgré un style graphique qui aurait pu être meilleur, Clevatess à su répondre aux attentes sur de la dark fantaisie.

Synopsis : Le puissant démon Clevatess est dérangé dans son antre par une troupe de héros venue l’éliminer. Voilà un millénaire qu’il n’avait pas fait face à des humains. Ceux-ci s’élancent vaillamment… et sont décimés ! Malgré tout, leurs épées, forgées dans un métal rare, ont égratigné ses cornes… La créature s’interroge. Comment ces insectes insignifiants ont-ils pu développer de telles armes ? Pourquoi veulent-ils sa mort ?

Clevatess part poser la question au monarque commanditaire de l’attaque, détruisant sa capitale par vengeance au passage. Mais cette expédition ne lui apporte aucune réponse, et il envisage l’extermination totale de cette race… C’est alors que dans les ruines du palais, un survivant blessé lui tend un bébé en le suppliant de le sauver. D’abord réfractaire, le démon y voit finalement une opportunité : élever un humain lui permettra de comprendre ses adversaires et, surtout, de déterminer s’ils méritent d’être graciés !

Nukitashi the Animation

Je ne sais pas trop ce que j’ai regardé, un mec et sa sœur qui sont envoyé sur une île ou le sexe est fortement conseiller et où on le pratique n’importe où (dans la rue, en classe, au supermarché) sauf que le héros veut combattre ça parce que quand il était petit il a été persécuté par ses camarades parce qu’il avait une très grosse bite (ce n’est pas une vanne). Il va créer une organisation et recruter de nouveaux membres pour mettre fin à cette pratique répandue sur l’île et qui va peut-être s’exporter à travers le monde.

Je ne saurais dire que le concept est génial ou complètement à chier, mais le délire de base est bien respecter. Sans vraiment être un hentai, le titre reste dans une certaine mesure «  »soft » » entre de gros guillemet, ça respecte quand même une certaine morale. L’œuvre est assez tirée par les cheveux et n’est pas forcément à prendre au sérieux, genre il y a des choix qui n’ont aucun sens toute comme des actions avec des personnages qui se prennent un camion ou arrête une balle de pistoler avec leur XXX.

J’ai aussi trouvé un peu gênant à force de voir à chaque plan la ville qui est pleine de genre en train de baiser dehors avec 1 personne par m². Genre ils n’ont pas de vie à côté de ça ? Pas de travail ? Pas de responsabilité autre que la baise ? Si un jour ce genre de situation devais arriver, je pense qu’il y aura quand même des gens qui se comporteront de manière plus rationnel et que le monde tournerais moins dans l’extrême que ça.

Au final je ne sais toujours pas ce que j’ai vu.

Synopsis : L’île d’Indigo n’est pas un endroit comme les autres. Pour décourager l’émigration et attirer le tourisme, elle est devenue la destination « Sexe » par excellence. Les habitants peuvent être punis s’ils ne font pas l’amour fréquemment ! Sur cette île de folie, Misaki Hitori est encore au lycée et est l’une des rares vierges à essayer de garder son secret et de trouver l’amour dans un environnement aussi lubrique !