La Traversée du temps
Contrairement à ce que la couverture pourrait faire croire, il s’agit de la version roman de l’œuvre. Je suis tombé dessus par curiosité en librairie, la couverture était jolie, je connaissais le film de nom et il n’était pas trop épais donc j’ai dit let’s go.
On va suivre Konno, une lycéenne un peu garçon manquer qui n’as pas beaucoup d’amies. Un soir alors qu’elle nettoyer sa salle de classe, elle va apercevoir du mouvement dans une autre salle, mais n’y trouvera personne en y allant mise à part une odeur de lavande. Quelques jours après elle va vivre des événements étranges comme un tremblement de terre, une maison voisine qui brûle, et va finir par se faire renverser par un camion. Enfin c’est ce qu’on croit, car elle va se réveiller dans son lit 1 jour avant ces incidents. Elle va rapidement comprendre qu’elles possèdent un don de revenir dans le temps.
Le principe de saut dans le temps est bien amené bien qu’il soit déjà présent dans d’autres œuvre (coucou re:zero qui fonctionne de la même façon) mais j’ai trouvé le roman bien trop court pour l’utiliser de façon plus créative. Konno accompagné de ses amies n’ont qu’un objectif, trouver comment elle a acquis le pouvoir de retourner dans le temps, et inversé le processus, on a presque aucun développement de personnage ou d’histoire annexe pour s’attacher un peu plus à eux.
Synopsis
Cela dit la résolution final à le mérite d’être cohérente (même si un peu farfelu) et offre une bonne conclusion pour finir le récit. J’aurais quand même aimer en voir plus et apprendre à mieux connaître les personnages, peut-être que le film permet de pallier ce souci.
La salle de sciences naturelles ressemblait à un débarras rempli de choses horribles. Et puis soudain, au milieu des ustensiles de cuisine, des squelettes, des collections d’insectes, et des animaux empaillés, Kasuko se sentit envahie par une odeur douce et nostalgique, comme de la lavande. Elle crut voir une ombre, un fantôme, ou un voleur, et s’évanouit. À partir de ce moment-là, plus rien ne fut normal. Kasuko avait l’impression d’avoir fait un saut dans le temps, de savoir à l’avance ce qui allait se passer. En outre, les catastrophes se succédaient sur son passage, tremblement de terre, incendie, camion fou… Kasuko décida de se confier à quelqu’un de sûr, le gentil Masaru, par exemple, ou le professeur de sciences naturelles. Des discussions qui lui réservent de bien étranges surprises.
