Girls’ last tour – Bien plus qu’un récit marquant !
Girls last tour est un titre qui m’a marqué, mais non pas comme des titres tel qu’Éclat(s) d’âme ou Solanin qui te questionne sur des choix moraux ou non, mais marqué par la philosophie de ses réflexions sur la fin de l’humanité que j’ai fini par accepter. À l’instar d’un Aria ou d’un Escale à Yokohama avec laquelle elle partage son genre du Iyashikei (c’est-à-dire un genre qui a pour but de suivre des personnages vives une vie paisible dans des environnements apaisants), on va suivre 2 jeunes filles du nom de Chito et Yuri qui a bord de leur autochenille se déplace dans un paysage froids, mécanique mais surtout vide et en ruine vers un destination toujours plus haute à la recherche d’un lieux plus accueillant tout en cherchant à comprendre la question d’être en vie.
L’univers quand le passé cherche à comprendre
Découvrant des vestiges du passée, Vont-elles réussir à l’atteindre, qu’est-ce qui leur attend, là-haut ? On croise d’autres personnages de temps en temps qui ont chacun leur genre et leur différence mais qui ne gène à les personnages n’y le lecteur, mais des personnages qui ne resteront pas bien longtemps mais auront toujours quelque chose à nous apprendre sur la vie d’avant de ce monde.
Mais la encore, le développement de l’univers est expliqué brièvement par bride. C’est grâce aux éléments du décors, aux différentes informations que vous recueillir nos personnages que l’on va comprendre les choses étranges de ce lieu, comme d’étrange statue de grande taille qui ne semble rien avoir à faire là, de lieux créer sans réel but derrière ou de ville parfois présente de manière très industriel.
On comprend qu’il y a eu une guerre (par la forte présence d’armes au début du récit), que la vie sur terre touche à sa fin, ce qui amène à une grande réflexion sur le but de la vie, l’intérêt de continuer à vivre alors qu’il n’y a plus de monde autour de sois, de chercher un but alors que tu exécutes tous les jours la même routine (manger, avancer, dormir) pour maintenir ta survie. Vous l’aurez compris, par ce thème de la fin du monde, de la fin de l’humanité et de toutes les questions que les générations futures se pose sur les choix passés, pourquoi les humains se sont fait la guerre ? Quel en été la raison alors que le monde à sa fin s’axe plus sur une logique de reconstruire des choses durables (sources de nourriture) pour survivre.
Les personnages qui suivent les traces de ce qui à été perdu
Mais on continue de suivre leur aventure car elle le parcourt avec un esprit enjoué, car pour elle le monde c’est ça, n’ayant connu rien d’autre pour elles c’est normal de voyager à travers de grande étendu de bâtiments vide, d’avancer dans des paysages vide et froids, alors que côté lecteur on trouve ça triste pour elle. La ou on vois du malheur, pour elle qui n’ont rien d’autre c’est une source de bonheur de trouver un lac ou l’eau est propre pour laver sa lessive.
Leur relation donne l’impression que peur importe que le monde soit perdu, il peut toujours y avoir de la joie, Elles cherche à comprendre le monde qu’elles n’ont pas connu et comment vivais les gens d’avant. Nous offrant un parcourt et très large sur les récits philosophie sur la vie des réflexion sur l’humanité, la vie, la mort, dieu et le temps, la raison même des guerre entre les humains, sur l’évolution de la robotique, et même l’écologie.
Merci à Florent Gorges pour la traduction.
Synopsis
La civilisation s’est éteinte il y a déjà de nombreuses années. Le monde n’est plus que villes dévastées et machines inutiles. Chito et Yuri sont désormais seules et errent sans véritable but dans les décombres.
Les deux jeunes filles ont grandi dans ce monde, sans savoir comment elles ont pu survivre par elles-mêmes. Aujourd’hui, elles déambulent sans vraiment comprendre tout ce qu’elles voient, à la recherche d’un toit et de nourriture. Leur périple dans ce monde sans vie est, pour elles, l’occasion de se poser de nombreuses questions sur l’existence et la vie que menaient leurs ancêtres, mais aussi sur le futur…
Ca fait un moment que cette série est sur ma wishlist… Un jour je m’y mettrai !
Il serait temps de t’y mettre (enfin je dis ça, mais ça fessait aussi un moment qu’il traîne sur ma liste puis sur ma PAL).
Je sais plus si tu avais lu Aria ou Escale à Yokohama mais c’est dans un style assez similaire. Et je pense que les différentes questions que se posent les personnages sur l’humanité devraient te plaire
Aria j’ai lu les deux premiers tomes, j’ai bien aimé mais pas de moula pour continuer. Yokohama par contre palu !
Je n’ai pas du tout accrocher, je trouvais qu’elles roulaient sans but, sans savoir quoi chercher. Elles font pourtant différentes rencontres mais ne nouent pas de relation avec ces personnes.
Graphiquement c’est assez sympa, mais je n’ai pas accroché à cette histoire.
Le but de leur voyage est surtout de trouver un lieu avec d’éventuels survivants et de la nourriture pour survivre. Mais au cours de leur parcours elle s’interroge surtout sur leur environnement et comment se dérouler la vie des personnes qui habitait les lieux qu’elle visite.
C’est vrai qu’on ne peut pas vraiment parler de relation d’amitié avec les personnes qu’elles rencontre (et encore le chat champignon a eu un impact plus important sur elle), mais j’ai trouvé que le but de ses rencontres était plutôt de présenter l’état d’esprit des différentes formes de vie.
He oui la série est très belle graphiquement ^^