Bilan animes de l’Hiver 2025
C’est l’heure du bilan animé de l’Hiver 2025, j’avais initialement prévu de regarder des suites d’animés sorties ces dernières années que je n’avais pas encore eues le temps de voir, mais finalement ce début d’année c’est transformer en découverte de plusieurs films d’animation.
J’ai quand même l’impression d’être plus critique quand je regarde un film que quand je regarde une série, mais ça m’aura permis de découvrir plusieurs œuvres comme Dans Un Recoin de Ce Monde, Le Tombeau des Lucioles (et ma découverte des film du studio Ghibli), ou encore Pompo The Cinéphile qui est sortie en physique dernièrement. Mais il n’y a pas que ça, j’ai profité de quelques animés en VF pour continuer Blue Lock et redonner une chance à Orient. Et bien sûr il y a eu les animés de saison avec l’excellent Re:zero.
Mitsuboshi Colors
On suit les aventures des Colors, 3 petites filles qui protègent le quartier dans lequel elles habitent en empêchant le crime, résolvant des énigmes ou embêtant le policier paresseux qui surveille la ville.
Adorant le manga mais en étant en attente de la sortie des 2 derniers tomes, je me suis plongé dans l’animé ma fois très colorée. La série reste comme dans mes souvenirs, bonne enfant et remplis de moment de vie à suivre 3 enfants dans l’innocence de l’âge, jouer à protéger le quartier ou faisant quelques petites bêtises.
Reposant et sans prise de tête j’ai passé un très bon moment à voir la série, même si elle n’adapte pas tout le manga (on s’arrête aux 2-3 premiers chapitres du tome 4), j’espère une saison 2 un jour qui corrigerait aussi le rythme parfois assez lent de certains passages.
Synopsis : L’histoire met en scène Yui, Sacchan et Kotoha, 3 élèves de primaire qui forment l’organisation secrète « Colors« , chargée de protéger le parc Ueno.


Le Mystère des Pingouins
Alors qu’au départ je voulais regarder un film tranquille tout en réalisant quelques tâches à côté, je me suis finalement retrouvé vite happé par cette histoire et ce mystère entourant des pingouins. Bon même si c’est des Manchots, mais je pense que le film à garder Pingouins pour garder la synchro labiale, et à expliqué ça en disant que beaucoup font l’erreur de les appels Pingouins, qui apparaissent de manière mystérieuse dans une petite ville, mais aussi de cette étrange sphère et de la dentiste qui cache quelques mystères sur qui elle est vraiment.
On y suit l’histoire au travers les yeux d’Aoyama, un jeune garçon encore de primaire mais qui fait déjà preuve d’une certaine maturité et d’un sens de la recherche en réalisant diverses expériences afin de mieux comprendre d’où viennent les pingouins et ce qui les empêches de s’éloigner de la ville.
Ce que j’ai bien apprécié dans ce film c’est avant tout le mystère qui nous questionne tout autant que le personnage et nous donne envie de trouver les réponses à toutes les questions, l’ambiance globale est très réussi pour nous immerger dans la ville et reconnaître les quelques lieux importants pour facilement se repérer.
En revanche, l’obsession du personnage principal pour les seins à tendance à devenir rapidement gênant, la VF est par moments surjoué quand il s’agit de retranscrire la colère des enfants.
J’ai aussi du mal à définir la cible réelle du film, d’un côté je dirais qu’il s’adresse pour les enfants par son cadre, son héros, et aussi par le fait que juste les enfants sont nommés par leur véritable nom. Mais de l’autre, le côté très scientifique ainsi que le fait qu’on suit un enfant qui flash sur les seins d’une adulte et souhaite se marier avec elle n’est pas ce que j’appelle à être destiné au enfant.
En bref, dans l’ensemble ce n’est pas un mauvais film, mais certains éléments auraient mérité plus de réflexion.
Synopsis : L’histoire suit le quotidien de Aoyama, un garçonnet qui s’est pris d’amour pour une jeune femme bien plus âgée que lui, qui vit dans son quartier et exerce le métier d’assistante dentaire. Son petit quotidien se voit bouleversé lorsque des manchots débarquent en ville ! Il décide alors de tenter de résoudre cette affaire : d’où viennent-ils et que sont-ils venus faire ici ?
Burn the Witch #0.8
Prequel de Burn the Witch qui me permet de replonger dans cet univers. Une histoire assez simple qui nous présente rapidement les personnages principaux et le principe et l’univers de la série.
On comprend qu’il y a des « sorciers » qui doivent effectuer des taches liées à des bêtes magiques (des dragons dans cet épisode) qui touchent aux humains. On voit aussi que des Dragons sont infiltrées dans le monde humain et recherche à tuer des sorcières pour acquérir la vie éternelle.
Simple et efficace, on en demande quand même un peu plus pour mieux comprendre ce monde particulier.
Synopsis : Il s’agit de l’adaptation du one-shot original Burn the Witch sorti en juillet 2018 au Japon. Les événements de ce dernier se déroulent avant le film d’animation.


Orient Saison 2
Après une saison 1 assez décevant niveau construction et combat sans saveur, j’avais décidé de ne pas continuer Orient. Mais j’ai eu envie de lui redonner une chance et de voir les nouvelles saisons des animés que j’ai déjà vues par le passé.
Et bien je suis plutôt surpris, si les combats reste assez pauvre (pas beaucoup d’enjeux), j’ai trouvé l’intrigue et le développement des personnages nettement plus intéressant que lors de la première saison. Nos héros partent rejoindre d’autres clans de Buchi qui se réunissent pour aller s’attaquer au Yamato No Orochi, un grand oni qui a pris possession d’une île et y récupère les ressources, mais tout ne vas pas se passer comme prévu, Musachi se retrouve à l’écart de ses amies et doit apprendre comment se battre comme un vrai Buchi, tout en essayant de créer une cohésion dans son groupe.
Même si ça reste quelque chose de déjà vue, j’ai beaucoup aimer le fait que l’histoire se concentre sur l’histoires et les liens entres les personnages, même s’ils ne sont pas tout mis en avant de la même façon, on apprend rapidement à les connaître et se créer une proximité avec une bonne partie des forces en présence, j’ai beaucoup aimer le personnage de Michiru (qui était déjà apparu dans la saison 1 mais dont je me rappelais plus), elle a une grande importance dans le récit et arrive malgré les drames à redonner le sourire et communiqué sa joie de vivre. On a également une transformation très dans le style de Magi pour notre héros à la fin.
En bref, bonne surprise cette seconde saison, malgré la qualité pas toujours au rendez-vous, je regarderais avec plaisir la suite si elle sort un jour.
Synopsis : L’histoire se déroule au 15e siècle dans un monde en proie aux Oni, des créatures maléfiques profondément respectées par les humains qui ne connaissent pas leur véritable nature.
Seuls les Bushi, de courageux guerriers, sont conscients du danger que ces démons représentent. Malheureusement, ils sont réprouvés par la société et condamnés à vivre dans la honte, de peur qu’ils ne renversent l’ordre établi.
Nous suivons le quotidien de Musashi et son ami d’enfance Kojiro, deux descendants de Bushi, rêvant de parvenir à libérer le Japon de l’asservissement des Oni !
Ensemble, ils sont bien décidés à fonder le plus puissant clan de Bushi que l’histoire ait jamais connu !
Le Tombeau des Lucioles
L’histoire de Seta et Setsuko, un frère et une soeur qui vont essayer de survivre dans un Japon en pleine guerre. Après la perte de leur mère ils vont être transféré chez leur tante ou au fil du temps les tensions vont se mettre en place de plus en plus, avec la baisse des rations de survie les alertes de plus en plus présent.
Le film nous retranscrit à merveille la vie en tant de guerre pour les familles qui sont loin du front mais qui y sont touché tout autant.
Un très beau film qui nous montre toutes les difficultés de l’époque, et comment certain ont réussi à survivre dans des conditions très difficiles malgré la perte de leurs parents. Le film se fini aussi sur une note assez triste qui entame ma découverte des films du studio Ghibli.
Synopsis : Dans le Japon de la Seconde Guerre mondiale (l’histoire se passe à l’été 1945), deux enfants, Seita (adolescent de 14 ans) et sa jeune sœur Setsuko (qui a 4 ans), se trouvent livrés à eux-mêmes après la mort de leur mère, suite au bombardement massif à la bombe incendiaire de Kōbe par les États-Unis. Seita tente en vain de contacter leur père, militaire, et partent habiter chez leur tante, mais celle-ci leur dit que pour manger il faut travailler. Seita commence à travailler pour sa tante, mais cela ne lui suffit jamais. Aussi, Seita et Setsuko partent et se réfugient dans un bunker désaffecté. Cet abri est illuminé la nuit par des milliers de lucioles. Les problèmes s’enchaînent : la nourriture vient à manquer, Setsuko tombe malade… Seita se met alors à voler de la nourriture.


Dans Un Recoin de Ce Monde
La jeune Suzu est une fille gentille mais aussi tête en l’air, alors qu’elle passe son temps à dessiner et aider sa grand-mère dans la banlieue d’Hiroshima, voilà que son destin va changer lorsqu’elle sera amenée à épouser Shousaku, un homme qu’elle découvre à peine une fois atteinte l’âge adulte. Comment vas t’elle se familiariser à cette nouvelle famille dans la ville de Kure, et comment son quotidien va changer durant ce temps de guerre (les années 1945) ?
Tout comme le tombeau des lucioles, voilà un nouveau film qui raconte la vie de citoyen japonais durant la Seconde Guerre mondiale. Mais ici dans un cadre moins dramatique au premier abord, tout semble assez calme et le film arrive à créer une très bonne ambiance avec dès son de ce qui nous entoure et très peu de musique de fond, on a presque l’impression que la guerre ne touche pas les personnages, mais ça rend d’autant plus dramatiques les passages de disparition ou de bombardement.
Je pense notamment à une scène ou Suzu se retrouve dans un abri avec la fille de sa belle-sœur, et après un prompt silence, le bruit des obus lancer sur la terre fend les oreilles et nous terrifie autant que les personnages devant la dangerosité de ce moment. Certes, le film reste moins sombre que le tombeau des lucioles, mais plusieurs moments dramatiques arrivent à nous frapper quand on ne s’y attend pas.
J’ai beaucoup aimé le personnage de Suzu, d’abord montré complétement déconnecter de la réalité et de sa nouvelle vie, elle va grâce à sa nouvelle famille se transformer et sortir du cocon dans lequel elle se trouvait. Il y a un passage que j’ai trouvé très juste, ou l’un des amies d’enfance de Suzu lui fait la remarque quand il la retrouve, qu’elle à fini par devenir quelqu’un de normal depuis son mariage.
Synopsis : Suzu Urano est une fille d’Hiroshima. Lorsqu’elle se marie avec le fils de la famille Hojo, elle part vivre chez lui, à Kure, une ville où l’aspect militaire est particulièrement présent puisqu’elle dispose entre autres d’une base navale. Alors que leur quotidien se met en place, la jeune femme découvre les déceptions de la vie de couple : quelques souvenirs du passé refont surface… Petit à petit, la vie que Suzu avait pourtant rêvé empire et la guerre n’arrange pas les choses. En 1945, un bombardement va littéralement bouleverser son existence…
Pompo: The Cinéphile
On suit Gene Fini, un jeu réalisateur qui va se voir confier la réalisation de son premier film par la productrice J.D Pomponette (que je vais appeler Pompo par la suite).
J’ai trouvé le film bon dans ce qu’il raconte, à savoir le désir de créer un film parfait qui procure des émotions à ceux qui viennent le voir, et qui respectent la vision du réalisateur. C’est bien dessiné et on ressent la passion ressortir des différents personnages dans ce qu’ils font.
J’ai cependant moins bien aimé la seconde partie, plus môle sur le moment où l’on doit réaliser le montage du film mais où on se rend compte qu’on va devoir couper de nombreux passages si on ne veut pas que le film dure 5 heures, ça montre un réalisé sur le fait de réussir à retranscrire quelque chose de bien en un minimum de temps, au détriment parfois de scène qu’on pense importante pour le récit.
Je n’ai pas parlé du personnage de Pompo, mais c’est la plus grande surprise du film, j’avais un peu peur qu’on tombe sur le cliché de la gamine surdoué ou bloqué sur l’ombre de ses prédécesseurs, mais elle déborde à la fois d’énergie tout en poussant notre héros à se surpasser et poursuivre ce qui lui fait envie, et ceux, toujours avec une grande bienveillance. Ça ne me dérangerait pas du tout de voir une autre histoire mettant en avant Pompo.
En bref, de bons personnages qui portent une histoire manquant un peu plus de prise de risque.
Synopsis : L’histoire suit Joelle Davidovich « Pompo » Pomponette, une productrice de cinéma très appréciée.
Un jour, un scénario venant de cette talentueuse Pompo tombe aux mains de son assistant Gene, qui le trouve extrêmement touchant.
À sa grande surprise, cette dernière lui a confié la réalisation du film !


Time Shadows
Un thriller pour le moins intéressant. On va suivre Shinpei Ajiro qui va revenir sur son île natale pour assister à l’enterrement de son amie d’enfance Ushio. Mais alors qu’il est de retour, plusieurs événements étranges vont avoir lieu autour de lieu.
On va rapidement se rendre compte que des ombres ont pris l’apparence de personnes vivant sur l’île et en ont après la famille d’Ushio, Shinpei va mener l’enquête mais va acquérir un pouvoir lui permettant de remonté dans le temps qui lui sera très pratique.
Un animé ma fois plus que sympathique, ça, ce suit très bien, il raconte toujours quelque chose d’intéressant et arrivé à nous prendre au jeu de son intrigue pour découvrir le secret derrière les ombres.
Quand on pense que c’est fini la série arrive toujours à sortir quelque chose d’inattendu pour se replonger dans l’histoire. Une très bonne découverte et une fin très poétique.
Synopsis : Lorsqu’il apprend que Ushio, son amie d’enfance, est décédée, Shinpei décide de retourner sur son île natale, Hitogashima. Là-bas, il se rend vite compte que quelque chose ne tourne pas rond…
S’il s’agissait d’une mort accidentelle, pourquoi une autopsie a-t-elle été réalisée ? Qu’a bien pu voir Mio, la petite sœur d’Ushio ? Mais avant de pouvoir répondre à ses questions, Shinpei et Mio sont assassinés par un double de cette dernière…
Et voilà que Shinpei se réveille à nouveau sur le bateau qui le conduit à Hitogashima pour assister à l’enterrement d’Ushio…
La réceptionniste Pokémon
Merci d’avoir mis ça sur YouTube sur la chaîne officiel de Pokémon.
Une série plutôt sympathique ou un suis Haru, une jeune femme qui part travailler sur une île en tant que réceptionniste Pokémon dans un hôtel. Un peu comme un club de vacances elle va faire en sorte de trouvé sa place et que tout roule sur l’île malgré quelques péripéties dû à des Pokémon. Pas la série que j’ai envie de revoir régulièrement, mais ça reste bonne enfant et assez reposant à voir.
J’ai beaucoup aimé certains passages ou Haru laisse place à son franc-parler, ça offre des moments inattendues à la série. Une suite est déjà prévue, j’espère qu’elle se concentrera un peu plus sur le développement des autres personnages de l’hôtel.
Synopsis : Nous suivrons Haru, une jeune fille, réceptionniste dans un hôtel, qui aura la particularité d’avoir comme clients… des Pokémon.


Blue Lock Saison 2
Saison 2 de Blue Lock centré sur un match très important contre le U-20 Japonais.
On commence la saison avec un petit entraînement pour définir qui seront les 11 joueurs qui représenteront le Blue Lock lors du match, et qui présenteront aussi le Top 6 actuel, de quoi présenter de nouveaux personnages ayant chacun leurs armes secrètes et leurs caractères qui les places à un niveau très élevé. Sans suie, rapidement, le match très attendu qui prendra la plus grosse part de la saison.
Déjà le pari est réussi car le match est très médiatisé et se déroule dans un vrai grand stade ce qui permet de ressentir l’excitation des spectateurs pour ce match, de ce côté-là, on se retrouve rapidement pris au jeu, et mise à part les spectateurs qui crient « Japon » dans la VF (sachant que les 2 équipes sont japonaises) le reste est très bon. Concernant le match en lui-même, comme on peut s’y attendre y nous réserve son lot de surprise et de rebondissement, j’aime beaucoup le fait qu’on s’attarde sur tout les personnages présent sur le terrain pour les développer (peut-être 2-3 persos de la U-20 sont moins mis en avant), ça permet de s’y attacher et créer une proximité avec chacun d’eux, tout en permettant de faire encore plus ressortir les stars du match.
L’animation a été un gros débat lors de la diffusion de l’animé, et même si c’est vrai que certains plans sont par moment fixe et manque de dynamisme, en vrai dans l’ensemble ça va, ça se regarde bien et la série change régulièrement les angles de vue pour offrir une meilleure vision du terrain et des actions possibles pour les personnages.
Mise à part ça, même si ce n’est pas la saison de l’année, je l’ai bien apprécié et certains passages (notamment ceux liés au Flow) m’ont bien surpris.
Synopsis : Après avoir franchi avec succès la troisième épreuve de sélection, Yoichi Isagi se compte parmi les rares qualifiés pour poursuivre leur aventure au sein du Blue Lock. Cependant, le temps presse. Les investissements colossaux de Jinpachi Ego ont amené les hautes instances du football japonais à conclure que le projet était condamné à l’échec et devait être abandonné au plus vite.
Blue Lock: Episode Nagi
Spin-off de Blue Lock sur Nagi qui retrace son parcours quand il a découvert le foot ainsi que son assenions jusqu’à son arrivée au Blue Lock.
Le début n’est pas forcément intéressant, on n’apprend pas grand-chose de nouvelle mise à part sur son pote Réro qui est un gosse de riche (je sais plus si ça a été dit dans la série principale ou non), Nagi quant à lui manque de motivation et ça se ressent grandement sur le rythme qui essaye toujours de le poussé à faire en sorte qu’il ne dévie pas du scénario d’origine (à plusieurs moments Nagi veux tout stopper à cause de sa flemme).
Mise à part ça, je trouve qu’une fois qu’on est son match contre Isagi ainsi que la seconde phase du Blue Lock le film devient plus intéressant à suivre, on suit le chemin de la série d’origine de son point de vue, et on s’arrête juste au moment où la saison 1 c’est terminer.
Au final ça reste un bon complétement pour ceux qui sont fan de Blue Lock, mais loin d’être un indispensable.
Synopsis : « C’est relou… » est la sempiternelle rengaine de Seishirô Nagi, élève de première qui se complait dans la mollesse. Sa vie connaît un tournant radical quand il fait la rencontre de Reo Mikage. Beau, intelligent, sportif et héritier d’une imposante entreprise, Reo a tout pour lui, mais n’a qu’une seule envie : devenir champion du monde de football. Pour y parvenir, il décide d’embrigader le paresseux Nagi dans son club de football après avoir été témoin des dons naturels de ce dernier, capable des prouesses techniques les plus incroyables… sans effort. Dotés de capacités exceptionnelles, le duo ne va pas tarder à se faire remarquer. Notamment par un programme très spécial destiné aux meilleurs attaquants… le Blue Lock !


Ameku M.D.: Doctor Detective
C’est rare d’avoir des séries animées qui parle de médecine, j’étais donc curieux de découvrir cette série traitant d’un médecin qui va élucider des mystères tel un mix entre Sherlock Holmes et Docteur House.
La série se laisse bien regarder même si elle tourne plus du côté du roman policier qui utilise le milieu médical comme décor et prétexte pour expliquer certains cas lors des enquêtes, que parler réellement de médecine. La série utilise comme bases des événements semble fantaisiste (un dinosaure, l’apparition d’un ange) comme élément d’intrigue dans ces énigmes, même s’il y a bien un élément rationnel qui se cache derrière tout ça.
Je me rends compte que je n’ai pas trop parlé de l’histoire, on y suit la doctoresse Takao Ameku qui dirige le service de Pathologie d’un hôpital donc elle est aussi l’héritière, accompagner de Yuu Takanashi (qu’elle appelle le plus souvent Kotori) ils vont être appelés sois par la police, sois par des médecins d’autres service pour résoudre des situations étranges.
Comme la Docteur Ameku est très douée, elle se prend au jeu de résoudre ses mystères, quitte à s’attirer les foudres d’autres personne.
Je vous avoue que j’étais pas le plus assidu à suivre la série, il y a eu quelques épisodes reporté durant la saison, et même si c’était sympa, ça manque un peu de moment de tension qui te donne envie de revenir pour découvrir à tout prix la suite, j’aurais aussi aimé que ça parle un peu plus de médecine et que les autres personnages (policer comme médecin) ne sois pas tous des incompétents, incapable de résoudre une situation un peu complexe par eux même.
Synopsis : À l’hôpital Ten’ikai, le docteur Takao Ameku s’occupe d’examiner les patients que les autres médecins jugent trop difficiles. Il doit ainsi faire face à des maladies que personne ne peut expliquer ou parfois à des phénomènes inexpliqués. Même la police fait appel à lui pour des affaires non-élucidées. Mais quelle que soit la vérité, Takao Ameku est toujours prêt à la faire éclater au grand jour.
Les 100 petites amies qui t’aiiiment à en mourir Saison 2
Toujours aussi drôle et complétement barré, on continue de suivre Rentaro qui offre tout son amour à ses petites copines, tout en augmentant leur nombre pour arrivé déjà à 11.
Chaque introduction de personnages est l’occasion de renforcer les liens de la Rentaro Family en participant à une activité dont est maître la nouvelle arrivante, je continue de passer un bon moment devant la série qui propose de nombreuses références à des mêmes, gags, ou séries connues, et ceux de manière plus ou moins subtile. Je trouve peut-être le cast de nouveaux personnages un peu moins excentrique que celui de la première saison, il y a quelques perles et idée bien trouver comme par exemple Iko qui a un fétichisme très particulier, mais il n’en reste pas moins que l’alchimie entre tout le groupe continue de bien fonctionner.
D’autant plus qu’on n’oublie pas développer les anciens personnages qui auront aussi droit à leur moment de gloire. Un bon divertissement et des fous rire garantie, j’espère que la série continuera à être adaptée en animé.
Synopsis : Rejeté 100 fois lorsqu’il était au collège, Rentarô Aijô se rend dans un sanctuaire et prie pour avoir plus de chance avec les filles une fois entré au lycée. Le Dieu de l’amour apparaît alors et lui promet qu’il rencontrera bientôt 100 prétendantes. Mais il y a un problème : une fois que le destin lui a présenté quelqu’un, il doit l’aimer en retour, sinon, la jeune fille mourra. Qu’arrivera-t-il à Rentarô et à ses 100 petites amies ?


Re:ZERO Saison 3
Suite de Re:zéro qui nous place 1 an plus tard après les événements de la saison 2, les personnages ont donc commencer à bien évoluer et c’est notamment le cas de Subaru qui combat maintenant avec un lasso et est aussi plus débrouillard.
Toutes les candidates aux trônes sont conviées par Anastasia à se réunir pour une réunion permettant de faire initialement le point sur la situation de chacun, c’est la tous le propos de l’épisode 1 qui permet de reposer les personnages et de voir comment chacun à évoluer avec le temps.
Mais rapidement les évêques du culte de la sorcière refont parler d’eux et ce n’est pas moins de 4 évêques qui décide de mettre le chaos dans la cité en pliant tout le monde sous leur exigence.
La première partie de saison diffusée fin 2024 vont nous montrer Subaru et les autres personnages subir un peu les événements tout en essayant tant bien que mal de trouver une solution face au culte.
La seconde partie quant à elle montre la contre-attaque une fois que les protagonistes ont réfléchi à un plan et on récupérer suffisamment d’information.
On retrouve tout ce qui fait l’essence de Re:zero, des moments fort que doivent traverser les personnages et des défis de plus en plus grand qui à première vue semble impossible à résoudre. L’une des autres particularités de cette saison et qu’on voit très peu Subaru mourir et utilisé son pouvoir pour trouver des solutions. Il l’utilise un peu au début mais on comprend aussi vite que la confiance que les autres lui portes sont un élément moteur qui lui permet de trouver comment passer les situations les plus complexes.
On ne se focalise pas que sur Subaru et on constate que chaque personnage à les compétences pour se débrouiller, et qui permet (en plus de creuser les liens entrent les autres personnages) de distiller tout un tas d’information mystérieuse (je pense notamment à Al) qui permettra d’enrichir le lore de la série tout en préparant la suite.
Une très bonne saison que j’ai aimée dans son ensemble, peut-être moins dans le sensationnel que la saison 2 qui avais mis la barre haute avec les sorcières et Subaru qui a du affronter ses traumatismes, mais on sent une très forte avancer avec l’affrontement contre le culte.
Synopsis : Après avoir repoussé les violentes attaques d’Elsa et de ses troupes, une année s’est écoulée depuis la libération du « Sanctuaire », où Béatrice a passé un contrat avec Subaru pendant la bataille contre le Grand Lapin. Le camp d’Emilia était uni face à l’élection royale, et Natsuki Subaru profitait pleinement de ses journées lorsque la paix et la tranquillité prirent fin avec la livraison d’une lettre par un messager.
Elle provenait d’Anastasia, l’une des candidates à l’élection royale, qui l’invitait à se rendre dans la capitale de l’eau de Priestella, où diverses retrouvailles les attendaient. Une inattendue, une involontaire, et une à venir.
Face à la malveillance qui règne sous la surface et à la crise sans précédent qui s’ensuit, Subaru est une fois de plus confronté à un destin éprouvant
Nos Mots comme des Bulles
Une histoire d’amour musicale très colorées et jolies visuellement, l’histoire tourne principalement autour de 2 personnages, Cherry, un jeune homme réservé qui reste dans son monde mais aime aider, et Smile, une jeune fille dynamique qui aime bien sourire mais qui porte un masque qu’on porte habituellement pour se protéger du pollen (ou un masque covid) pour cacher ses dents de lapin et son appareil dentaire.
Tous les 2 vont apprendre à faire connaissance après s’être rentré dedans habituellement, et profiteront d’un job d’été dans un magasin pour se rapprocher. L’une des autres quêtes qu’ils vont se donner et de retrouver un vinyle perdu du vieux monsieur Fujiyama.
Malgré que ce sois beau graphiquement j’ai moyennement aimé ce film, j’ai trouvé les personnages lents et qui ont du mal à se dire les choses clairement. Ça donne un sentiment de frustration à un moment car tu arrives à deviner ce que les personnages vont faire :/
Synopsis : Cherry est un lycéen qui n’arrive à exprimer ses sentiments qu’au travers des haïkus qu’il compose. Un jour, il rencontre Smile, une streameuse populaire qui complexe sur ses dents. Ensemble, ils vont aider M. Fujiyama, un vieil homme, à retrouver un vinyle chargé de souvenirs et qu’il a égaré. Leurs sentiments les poussent très vite l’un vers l’autre, mais…

Bon j’ai pas réussi à rattraper autant de suite d’animés comme je le voulais, mais c’est un mal pour un bien car j’ai pu me pencher sur plusieurs films d’animation qui me font de l’œil depuis un long moment. Pour la prochaine saison je vais essayer de suivre le même rythme, j’ai encore quelques films à voir mais après faut que j’arrive à me mettre à jour sur les différentes séries que je suis. Je n’ai pas parlé de Fate/strange Fake d’ailleurs car finalement il n’y a eu qu’un seul épisode de sortie, et il nous laisse sur notre faim.
Pour les animés qui sortent durant le printemps, j’avoue que je n’ai pas vu grand-chose qui me donne envie à vrai dire. Il y a quelques suites comme la saison 3 de Fire Force, la saison 2 de La Sorcière invincible tueuse de Slime depuis 300 ans, ou encore la saison 2 de No Longer Rangers qui me donne envie. Sinon en nouveauté il y a le spin-off de MHA avec My héro académia Vigilante, j’ai déjà lu le manga et même si l’univers est sympa je l’avais trouvé répétitif sur la durée. Il y avait aussi Witch Watch ou je n’ai pas accroché à l’humour en manga, mais pour lequel je redonnerais peut-être une chance.
Et vous qu’avez-vous pensé de se débrief des animés de la saison ? Quelle animé avez-vous vue de votre côté ? Êtes-vous du même avis que moi ? N’hésitez pas à me le faire savoir en commentaire.