The Kubikiri Cycle

Adaptation d’une œuvre de NisiOisiN (qu’on connaît surtout pour Bakemonogatari ou Médaka Box), on va suivre Li-chan et son amie Tomo Kunagisa qui sont invité sur une île avec plusieurs personnes étant des prodiges dans leur domaine (la cuisine, l’art, la divination), mais un meurtre par décapitation va avoir lieu et nos héros vont devoir élucider ce mystère ainsi que celui derrière l’île et les personnes qui s’y trouvent.

Ayant lu le Light Novel en début d’année j’avais surtout suivi l’histoire dans les grandes lignes car l’auteur à l’habitude de pas mal paraphraser et utilisé du vocabulaire technique que j’ai souvent eu du mal à suivre en anglais. J’avais quand même la structure du récit en tête, mais surtout j’ai pu mettre un vissage sur les différents noms des personnages.

On est la sur un très bon récit d’enquête avec des événements qui nous questionne quant à l’identité du coupable et la façon dont a pu être fait le meurtre tant certaines situations semble impossible à résoudre (comme l’affaire de la chambre close par exemple).

L’animé réussie très bien à retranscrire ces sentiments et immerge dans l’ensemble de ses mystères. Bon par contre ça parle quand même BEAUCOUP, on enchaîne les informations et c’est arrivé plusieurs fois que je me suis dit qu’on devait arriver à la fin de l’épisode alors qu’on était qu’à la moitié.

Je recommande en tout cas si vous avez l’occasion de le voir.

Synopsis : L’histoire se déroule sur l’île de Wet Crow’s Feather, où vit Iria Akagami, héritière d’une puissante famille. La jeune fille a été exilée sur l’île par le dirigeant de la Fondation Akagami, et y vit en compagnie de ses domestiques et de personnalités prestigieuses qui ont répondu à ses invitations. C’est ainsi que Ii et Tomo Kunagisa se sont retrouvés sur l’île.

Apocalypse Hotel

La série commence par les humains qui sont contraints de quitter la terre car un virus se propage dans l’atmosphère et rendant l’air irrespirable pour les humains, ne laissant sur terre que des robots et des animaux.

Quelques années/siècles plus tard on va suivre Yachiyo, un robot hôtelier s’occupant de gérer l’hôtel Gingarou, le dernier hôtel encore actif et en attendant le retour des humains. Mais que se passera-t-il lorsque le premier visiteur depuis des siècles se révélera être un extraterrestre ?

On est la sur un animé post-apo mais très simple et agréable à suivre ou l’on va suivre le personnel de cet hôtel et les différentes rencontres qu’ils ferrons au fil des années, entre ceux qui ne sont juste de passage, ceux qui décident de revenir régulièrement ou de s’installer dans l’hôtel. Tous noueront quelque chose avec Yachiyo et s’apporter mutuellement quelque chose, souvent une upgrade pour Yachiyo suite à l’accomplissement d’une mission qui lui débloquera une nouvelle fonctionnalité, souvent futile comme le fait de pouvoir sortir des feux d’artifice, avec une voix plus aigüe ou bien sortir de l’eau chaude de sa bouche.

Certes, ces améliorations n’apportent pas grand-chose « d’utile » dans son travail mais ça donne une petite touche de sympathie au personnage. Qui n’en manque d’ailleurs pas, car on va rapidement se prendre d’affection pour l’hôtel et son personnel, un endroit hors des soucis et loin de l’environnement environnant qui tombe peu à peu en ruine.

On se sent comme chez soi plus on avance dans les épisodes. Il y a 2 épisodes dans la séries que j’ai particulièrement aimé, le 6 et le 11, dans l’un on va voir arriver un extraterrestre qui veux détruire l’humanité avant que celle-ci ne franchisse la limite, mais comme il n’y a plus d’humain depuis des siècles, Yachiyo va lui montrer qu’il y a du bon dans ce qu’a fait l’humanité et que la terre est devenu un havre de paix aujourd’hui.

L’autre épisode est aussi très symbolique, on sent la fin de série qui approche et Yachiyo est contrainte de prendre des congés à force de trop travailler, elle va se balader dans l’environnement en ruine qui l’entour et se rendre compte que les machines et tout ce qu’on fait les humains est en train de disparaître et s’éteindre petit à petit.

On se sens attristé en se disant qu’un jour ou l’autre Yachiyo aussi arrivera à la fin de son cycle de fonctionnement, mais on relativise en voyant tout ce qu’elle à apporter avec la gestion de son hôtel, et que son héritage continuera à perdurer même une fois partie, c’est aussi un épisode assez particulier car une grosse partie se passe sans qu’aucun personnage ne parle, nous laissant profité de l’ambiance sonore et visuel de la série.

Une très bonne découverte qui se consomme comme un agréable feuilleton.

Synopsis : Dans un monde où les civilisations se sont effondrées et l’humanité a disparu, un hôtel demeure…

Detectives These Days Are Crazy!

Une comédie qui nous présente Keiichiro Nagumo, un détective très réputé dans sa jeunesse mais qui arriver à la trentaine à pas mal perdu de son efficacité. Il va être rejoint par Mashiro, une jeune fille énergique et un peu bébête qui va lui redonner un coup de peps en devenant l’assistante de son agence de détective, un duo atypique entre la fouge de la jeunesse et l’expérience de l’âge (et les problèmes de dos qui viennent avec.

J’ai regardé cette série suite à une recommandation, le début est très sympa avec beaucoup de référence à la pop culture, il y a pas mal de situation rigolote et absurde et l’alchimie fonctionne bien entre les personnages, je trouve d’ailleurs que le cast des personnages secondaires est plutôt réussi avec certains qui vont devenir récurent, que ce sois la fille d’un policer qui joue les voleuse, ou bien un autre duo de détective et son assistante.

On ne passe pas un mauvais moment mais j’ai trouvé que la série à du mal à vraiment se renouveler sur la fin, et que Keiichiro qui n’as que 30 ans mais à l’air d’en avoir 60 avec des problèmes de santé qui vont avec est un peu trop poussé par moment.

Synopsis : Lorsqu’il était au lycée, Keichiro Nagumo avait la réputation d’être un excellent détective, auquel aucune enquête ne résistait. Désormais âgé de 35 ans, il tient une agence de détectives privés qui bat de l’aile. Alors qu’il peine à joindre les deux bouts et qu’il commence à vraiment ressentir les « effets de la vieillesse », il fait la rencontre d’une jeune lycéenne pleine de vie, venue pour lui proposer un coup de main !

Chainsaw Man the Movie: Reze Arc

J’ai vu beaucoup de hypes sur les réseaux en le classant de meilleurs films d’animation, mais j’ai trouvé cela un peu égarer. 3 ans qu’on n’avait pas revus Chainsaw man en animé et on adapte un arc assez impactant avec un film.

Globalement la réalisation est très fidèle au manga et l’ambiance musicale du film arrive à merveille à retransmettre des passages assez fort. Je pense par exemple à la scène de la piscine ou pour ceux qui découvrait la série avec l’animé, pourrais croire que cette fois Denji à enfin trouver quelqu’un avec qui partager du bonheur et lui donnerais l’éventualité de vivre une vie normale. Mais très vite ça va de nouveau tourner au drame et le démon explosion va faire son apparition pour empêcher cela.

J’ai bien aimé son introduction avec le « boom » si caractéristique pour annoncer son arrivé, couplé à ses mouvements ça rend la scène mémorable. Point de vue animation mise à part quelques scènes du quotidien où j’ai trouvé les proportions bizarres ou alors qui manquer de détails, c’est surtout lors des affrontements que le plus impressionnant à lieux et je ne peut que saluer la réalisation du studio d’animation pour ça, même si on a déjà pu voir mieux dans d’autres animées je trouve (Fate Heaven’s feel 3 ou l’arc du quartier des plaisirs de Demon Slayer), ça reste fluide, et lisible même quand on se concentre sur les détails pour voir si quelques choses ne cloche pas.

Niveau histoire malheureusement le film récupère les qualités et défaut du matériels d’origine, trop rapide par moment et des passages qui ne seront compréhensible qu’une fois qu’on connaît la suite, l’attente entre la saison 1 et le film était peut-être aussi trop longue pour rester dans une grande hype.

En bref, un bon film dans l’ensemble qui se concentre sur un comité restreint de personnages, mais qui manque de quelques détails pour vraiment révéler son plein potentiel.

Synopsis : Après avoir mis hors d’état de nuire Katana Man, Denji fait la rencontre de Reze, une jeune femme qui semble s’intéresser à lui.

Tatsuki Fujimoto 17-26

Un animé de 8 épisodes qui reprend les histoires courtes de Tatsuki Fujimoto qu’il a écrit entre 17 et 26 ans, la particularité est que chaque épisode est animé par un studio différent ce qui offre une identité propre à chaque épisode pour un patri pris intéressant.

Et franchement c’était top chaque épisode à sa propre identité avec un style artistique et une animation qui surpasse le matériel d’origine parfois assez brouillon, on a le droit à tout type d’histoire avec des thèmes émouvante, touchante et drôle. La ou en manga je trouvais que certaines histoires manquées d’approfondissement ou d’empathie pour les personnages, j’ai trouvé que l’animé s’en sort bien mieux en rallongeant certains passages pour qu’on est plus le temps de s’attacher aux personnages, la musique, le doublage ainsi que l’ambiance globale joue également un gros rôle et arrive à rendre certaines scènes magiques.

Je pense par exemple à l’épisode de l’élève Sasaki qui arrête une balle, Shikaku, celui avec les sirènes ou encore l’histoire de Nayuta qui parle des thèmes simples et les racontent de manière effaçasse.

En bref une belle recommandation qui réussit à surpasser le matériel d’origine.

Synopsis : A Couple Clucking Chickens Were Still Kickin’ in the Schoolyard raconte l’histoire du lien qui unit deux survivants dans un monde post-apocalyptique, tandis que Sasaki Stopped a Bullet explore les émotions intenses de l’adolescence. Love Is Blind propose une comédie romantique de science-fiction sur l’amour à l’échelle cosmique, et Shikaku suit l’histoire d’amour tordue d’une assassin détraquée. Mermaid Rhapsody tisse une romance touchante entre un garçon et une sirène autour d’un piano sous-marin, tandis que Woke-Up-as-a-Girl Syndrome explore la recherche de son véritable soi au-delà des normes de genre. Nayuta of the Prophecy raconte le parcours de frères et sœurs liés par un destin cruel, et Sisters dépeint la rivalité, les conflits et l’épanouissement de deux sœurs douées pour les arts.

Pokémon Saison XY

Un visionnage que j’avais commencé il y a plus d’un an déjà mais que je n’ai jamais pris le temps de continuer et finir. XY fait partie avec Soleil et Lune des saisons Pokémon que je n’ai jamais vue car sorti durant une période où j’avais d’autres priorités et où l’accès aux animés Pokémon hors des diffusions à la télé était assez compliqué (peut-être un peu moins sur Soleil et Lune). Connaissant quand même le match de Sacha à la ligue qui avait fait grand bruit, je me suis dit que ça serait dommage de louper cette saison sachant que j’ai vu toutes les autres avant.

On retrouve Sacha qui débarque dans la région de Kalos qui est inspiré de la France et va assez rapidement faire face à la nouveauté de cette génération, les Pokémon qui se transforme dans une nouvelle forme grâce à la méga évolution, après un petit accrochage le voilà partie dans de nouvelle aventure pour la quête des badges, accompagner par Lem et sa sœur Clem, et plus tard rejoint par Séréna qui semble connaître Sacha depuis l’enfance.

Je ne vais pas vous faire un résumé complet de l’aventure, chaque épisode se déroule dans un lieu ou propose un événement différent ou nos héros vont être impliqué d’une façon ou d’une autre, ça reste assez classique et similaire aux autres saisons, avec comme toujours la team Rocket qui sème la pagaille à CHAQUE épisodes, je me rappelais plus que la série tourner autant sur le même schéma avec la team rocket, mais ça donne une certaine redondance à force de les voir prendre 1/4 de chaque épisode.

Mise à part ça on à quand même des moments sympa, j’ai bien aimer voir l’équipe de Sacha se construire avec des pokémon vraiment puissant pour une fois, que ce sois avec l’ajout de Dragon mais aussi des pokémon assez fort comme Brutalibré, Flambusard ou encore Croâporal (futur Amphinobi), on à un arc centrée sur le personnage de Cornélia qui est l’héritaire de la méga évolution et qui doit apprendre à contrôler son Méga Lucario qui fait partie des meilleurs moments de la saison, pour le reste il faut vraiment attendre les 2 derniers épisodes pour lancer l’intrigue sur la saison prochaine qui implique le sort de la région ainsi que le lien qu’à Sacha dans cet histoire.

Mais Sacha n’est pas le seul héros de cette aventure, Séréna nous est aussi présenter avec un grand rôle au début, elle aussi à un but qui est de participer à des salons Pokémon (ce qui remplace les concours), petit bémol là-dessus par contre, on en voit genre 3 en 90 épisodes, c’est très peu et ça se ressent aussi sur le développement de Séréna qui change très peu durant une bonne partie de la saison.

C’est dommage surtout après avoir annoncé qu’elle connaissais déjà Sacha avant ça et qu’elle est amoureuse de lui, je m’attendais vraiment à voir leurs relations évoluer petit à petit, à voir si la suite changera cela.

Au final un début de saison avec beaucoup de promesses mais qui ne sont pas toutes tenu, ça se regarde quand même bien même pour ceux qui ne connaissent pas la région et génération concerner, j’ai cru comprendre que la suite aller être plus importante point de vue scénario, à voir ce que ça réservera.

Synopsis : Sacha n’a pas réussi à s’imposer au sein de la ligue Unys.

Toutefois, notre héros n’a pas renoncé à ses rêves puisqu’il désire toujours devenir le plus grands maîtres Pokémon de tous les temps.

Après avoir quitté Rachid et Iris, Sacha est rentré chez lui pour se préparer pour son nouveau voyage !

Accompagné de son fidèle Pikachu, notre héros fait route désormais vers la région de Kalos où de nouveaux défis et challenges l’attendent !

Alma-chan Wants to Be a Family!

2 scientifiques de génie qui alors qu’ils étaient moqués par leurs collègues, ont décidé de s’allier pour fabriquer Alma, un robot parfait mêlant des capacités d’apprentissage automatique ainsi que capacités de combat surhumain (genre elle peut tirer des lasers). Une fois « en vie » la petite Alma va vouloir se comporter comme une petite fille normale et fonder une vraie famille avec ses 2 parents qui se crêpent le chignon en permanence.

On est sur une bonne série tranche de vie centrée sur Alma et ses parents qui essayent de se comporter de manière normale, il y a des scènes assez rigolotes ou qui font sourire quand on voit Alma parler de façon robotique ou utiliser ses compétences de combats. Je pense par exemple au moment où elle doit valider un captcha pour prouver qu’elle n’est pas un robot, ou alors quand elle cite son dossier Important quand on lui demandait de parler des personnes qu’elle aime.

Ça reste crédible dans son univers et attachant de voir Alma faire de son mieux pour paraître normale.

Mais même si j’ai bien aimé l’animé, pas sûre qu’il restera longtemps frais dans ma mémoire, il manque d’un moment marquant propre à la série pour se dire, ah ouais quand je parle de cette animé, je pense à ce passage ou à cette scène.

Mais si vous voulez passer un week-end tranquille et sans prise de tête, c’est un bon choix tout de même.

Synopsis : Enji Kamisato et Suzume Yobane sont deux scientifiques de génies, spécialistes de l’intelligence artificielle pour l’un, et de la robotique pour l’autre. Après avoir été la cible de moqueries de la part de collègues, ils décident d’allier leurs compétences pour créer Alma.

Alma est un succès mais alors qu’elle découvre le monde, elle se questionne et cherche sa place. Petit à petit, ses liens avec Enji et Suzume se renforcent et les deux chercheurs la soutiennent de leur mieux… entre deux disputes.

Fractale

Un peu comme Shangri-La, j’ai vu passé plusieurs fois l’affiche de la série et je m’attendais à un récit de voyage aérien, un peu dans le même style que Last Exile.

Mais en réalité c’est pas tout à fait ça, on se retrouve dans le futur en suivant Clain, un jeune garçon qui vis dans une petite maison de campagne et qui passe son temps à chercher des trésor de l’ancien temps tout en traînant en ville avec des Doppels, des sortents de clone de personne ayant rejoint le système Fractale qui permet à n’importe qui de vivre une vie de rêve comme s’ils étaient dans un monde virtuel. Mais un jour Clain va faire la rencontre de Phryné, une jeune fille en fuite qui va lui laisser la garde d’un Doppels assez spéciale nommé Nessa.

De fil en aiguille il va se retrouver à rejoindre la famille Granit, un groupe de rebelle qui veut que tout le monde ait une vie scène en stoppant le système Fractal qui laisse les gens dans une dépendance.

Encore une histoire parlant d’écologie et d’un futur ou la population est sous l’emprise d’un grand groupe ou d’une entité qui engaine les gens. C’est l’impression que j’ai eu en ayant fini l’animé, comme l’impression de regarder la même structure naratif en boucle mais dans un emballage différent.

Pourtant l’animé n’est pas mauvaise et on s’attaque rapidement aux quelques personnages, même si certain son assez con, que ce soit Clain qui parfois réfléchie pas ou Phryné peut-être un peu trop insouciance. Mais j’ai quand même ce sentiments que la série aurais pu proposer quelque chose de plus, voir un message différent que la technologie ce n’est pas ouf car ça enlève ton libre arbitre.

Par exemple les premiers Doppel que l’on voit ont une apparence très étrange, presque extraterrestre et on nous dit que ceux ayant une apparence humaine comme Nessa sont extrêmement rares, pourtant plus jamais on ne verra de Doppels avec une autre apparence et on visite même une ville avec plein de Doppels humain.

En bref, un peu déçu de cette animé qui aurait proposé quelque chose de plus, on accroche à quelques personnages mais on a du mal à s’investir vraiment dans l’histoire.

Synopsis : Dans un avenir lointain, l’humanité a étreint le système Fractale comme le sentier ultime vers l’utopie. Composé de plusieurs trillions d’ordinateurs interconnectés, Fractale a été créé au XXIIème siècle pour promouvoir un style de vie pacifique pour le monde entier dans l’échange d’une récupération périodique d’information nominative des individus par les terminus trouvés dans leurs corps. Vivant dans une région de côte rocheuse, Clain est un jeune garçon passionné par la vieille technologie. Après avoir aidé une fille appelé Phryne, elle lui donne un pendentif puis disparaît le matin suivant. En accédant aux données du cadeau particulier, Clain finit par réussir à convoquer un avatar sous la forme d’une petite fille appelée Nessa.

One Punch Man Saison 3

Bon graphiquement cette 3ème saison de One Punch Man ce n’est pas vraiment, ça, peut-être pas autant catastrophique que les gens le disent, en tout cas ça ne m’a pas empêcher de regarder l’œuvre et de suivre l’histoire.

On retrouve Garo qui avaient affronté les héros et c’était fait sauver par les monstres, ces derniers essayent de le recruter dans leur groupe mais lui est pas totalement d’accord car il pense qu’ils veulent juste se servir de lui. À côté de ça on a les héros de Rang S qui se rassemble et partent en direction du repaire des monstres pour déjà les stopper, mais aussi sauver le fils d’un ministre (si je ne dis pas de bêtise).

Et c’est clairement la partie la plus intéressant de la saison, j’avais souvenir que la série était surtout tourné sur les gags mais elles arrivent aussi à être sérieuse quand il faut et nous prouvent que les héros de classe S ne sont pas juste là pour la figuration. Que ce soit petit empereur, flash, beau gosse masqué ou encore Zombiman, plusieurs héros nous montre une démonstration de force pour se débarrasser des ennemis qui se dresse sur leur chemin.

En bref mise à part une animation assez médiocre, j’ai apprécié suivre cette saison et m’offre un bon souvenir sur la suite de la série.

Synopsis : Il s’agit de la saison 3 de One Punch-Man.