Alors que je suis censé bossé sur un article et la review d’un épisode d’animé hier soir. Je me suis mis à écouter en boucle se remixe tout en me demandant s’il existe un manga qui arrive à dégager la même énergie que je ressens en l’écourtant.
Mais qu’est-ce que je ressens exactement ? Pour l’histoire c’est cette musique qui m’a lancé pour de bons dans la saga des Legend of Heroes. J’étais déjà un peu attirer par la saga au travers des tests que j’ai lu, mais cette musique m’a donné le déclique de me lancer réellement. Son côté entrainant et son rythme me procurent à chaque fois une certaine joie et un sourire qui me mette de bonne humeur. Ok mais des manga dans ce style il y en a à la pelle, il faut donc creuser un peu plus. Ça joue beaucoup sur l’état d’esprit de chaque personne et du moment présent bien sûr, mais à force de l’écouter j’y ressens un message de liberté. La liberté de faire ce qui nous plaît, sortir d’un chemin tout tracé et faire des découvertes tout en partageant sa bonne humeur.
J’ai donc fait un petit tour sur mon Mangacollec pour vois si je possédais des séries qui pourraient s’en rapprocher. Et devinez quoi, je n’ai rien trouver de tel. La seule série qui s’en rapproche et qui m’a donné un sentiment similaire est « Nos c(h)oeurs évanescents« . Ce manga des éditions akata nous présente une troupe de chorale ou des collégiens vont s’ouvrir d’eux même à la vie et au passage à l’âge adulte grâce au chant. Mais malgré de très belles planches reflétant la liberté de l’esprit, les personnages ne sont pas totalement libre de ceux qui veulent faire et son prisonnier des changements de la vie.
Puis j’ai fait un tour par hasard sur ma liste d’animés fini, et j’ai réussi à ressortir 3 titres. Mais celui qui sort du lot et me semble maintenant être une évidence c’est « Soredemo Machi wa Mawatteiru » ou « Soremachi » pour faite plus cours. Même si le style jazzy de la musique ne se retrouve pas trop dans la série, tout le reste correspond au ressenti que j’ai eu en regardant l’animé pour la première fois.
Le côté tranche de vie de la série ou Hotori s’affranchit des barrières pour mener sa vie comme elle le sens. Elle oscille entre différents aspects, mystère, drame, humour, voyage, rien n’est présenter de manière générique et tout nous semble pourtant si naturels. Que ce soit sorti en pleine nuit pour montrer le vissage de la ville en pleine nuit à son frère qui ne trouve pas le sommeil. Résoudre le mystère lié au tableau peint d’un grand-père disparu. Découvrir une nouvelle race d’alien ou encore manger un ramen avec ses amis dans une laverie automatique. Soremachi nous offre ces moments différents du quotidien qui nous reste en mémoire.